Soucieuse

Fynlie était assi sur un banc, en face d’une chute qu’elle appellerait sans hésiter spectaculaire. Des jets d’eau sortaient dans tout les sens semblable à des milliers de diamants étincelants. Elle avait pris un chemin peu courant pour venir ici et était maintenant assise d’une manière à ce qu’elle soit peu vu.Car elle connaissait la réaction des adultes lorsqu’il la voyait. Son visage à lui seul réussissait à faire douter ceux-ci sur sa sincérité. Or, Fynlie était l’équivalent même de la vérité. Le mensonge n’était pas dans ces cordes et pourtant elle était de ceux qu’on classerait dans la catégorie : à éviter. C’était plus fort qu’elle, l’adolescente avait l’esprit de contradiction. Selon la jeune fille, être gentil n’apportait que des problèmes. L’inverse quand à lui, permettait à l’éphèbe de se protéger de toute ces souffrances que lui apportait son existence. Et ces réactions, elle était prête à les assumés jusqu’au bout. Tout comme le dédain des autres.Elle y était habitué. Toute son enfance, elle n’avait connu que la haine. Qu’il se montre , la personne qui allait oser proclamer que le calvaire était enfin finit! Car,pour elle, jamais il ne finirait. Elle n’était pas fataliste. Ni triste. Ni en dépression. Elle était simplement réaliste. Tout ceux qui peuplaient cette planète, homme ou femme, était hypocrite. Tous prêt à te jouer dans le dos, à t’abandonner à la moindre occasion!À te trahir! Et tout ça pourquoi? Mais pour eux! Pour leur propre compte de créature parfaitement égoïste, ils étaient prêt à vendre leur meilleur ami. Aucun d’eux ne méritait son respect. Elle-même ne le méritait pas.

Elle avait un vécu. Les autres aussi. Mais combien étais aussi chargé que le sien ?
Car dans sa vie chaque choses qui est pour une personne normale, au dessus de ces forces, prends pour Fynlie une ampleur totalement différence. Les jérémiades n’étaient pas dans sa manière de se comporter, et avec elle, les larmes n’étaient pas toléré. Pourquoi? Tout simplement parce que ce qu’elle avait vécu pouvait remplir des pages. Parce que elle était là. Elle était là lorsqu’elle se fît attaquer pour la première fois. Elle était là lorsque sa mère adoptive, furieuse, déversa sa colère sur elle. Elle était là lorsqu’elle dût se lever au aurore pour suivre un entraînement rigoureux qui serait en mesure de la protéger davantage. Pour cette raison, elle avait en horreur ceux qui se plaignait sans raison. Elle était solide, et malgré ces bonnes intentions, elle n’était guère capable de comprendre que certaine personne ne l’était pas. Pour elle, c’était simple. Il y avait deux catégories : ceux qui ne savent rien, qui se contentent de parler contre tous et toute en s’apitoyant sur un sort qui n’est pas le leur, et ceux qui comme elle, connaissent les mauvais coups que la vie peuvent vous jouer. Et qui sont prêt à chaque éventualité.
Elle se doutait très bien que son attitude explosive risquait de ne pas être un atout dans cet école qu’elle fréquentait depuis maintenant 3 ans mais n’empêche qu’elle avait bien réussi à être tranquille ces dernières années et qu’elle avait des habitudes. Comme celle de ne discuter avec personne . Non pas que cela l’indisposait, mais plutôt qu’elle n’en voyait pas l’utilité. Et qu’elle risquait de s’emporter. Car elle était ainsi. Un sujet anodin pouvait se transformer avec elle en véritable débat. Alors pour évité de paraître pour une colérique, elle se taisait. Et puis , à chaque coup, elle tombait sur des imbéciles. Personne ne semblait comprendre que Fynlie ne désirait pas plus discuter que de se marier. Elle aimait sa solitude, et jamais elle n’en avait senti le poids. Elle a une personne de confiance, alors pourquoi allez voir plus loin? Ou plutôt, elle avait…Mais ce n’était que peu grave. Car après tout,elle n’avait besoin de personne. On lui avait appris dès son plus jeune âge à subvenir elle-même à ces besoins, même en amitié. Et la jeune fille avait bien vite compris que le meilleur moyen pour vivre en paix, voir être heureuse, était de rester seule. Ainsi, on s’évitait les chagrins provoquer par les disputes. Et on passait à côté des paroles blessantes

Vraiment, parlé ne faisait pas parti de ces principes! En faite,elle n’était pas habitué de discuté. À moins qu’écouter les jérémiades d’un « frère » et d’une mère adoptive soit considéré comme une véritable discussion. Plus elle y pensait,plus elle se considérait chanceuse de ne pas être resté plus longtemps dans le taudis de ces vils personnages qui osaient se proclamer comme étant ces parents.Parfois, elle en était à se demander si cette famille ne l’avait pas adopté simplement pour…bien paraître. Pour pouvoir dire : regardez comme nous sommes bons, nous accueillons chez nous une petite orpheline. Après avoir entendu tant de méchanceté, tant de mensonge comment ne pas devenir à son tour hypocrite? Ah! Terrible attitude qu’est l’hypocrisie. Visage a deux faces tant détesté de sa personne, sont souvent menteurs ceux qui n’ont guère confiance en eux et qui tiennent à se remonter au profit de leur victime. Sarcasme et mensonge s’enchaînent tellement bien! Quoi de plus facile que d’accuser à tort une personne en le traitant de tout les noms alors que la vérité frôlent depuis bien longtemps ces lèvres? Quoi de plus facile que de tendre un piège en ne montrant qu’une face fausse, qui est le contraire de nous-mêmes! Quand la pauvre victime à la pleine confiance en ce persécuteur,il suffi de tirer sur la corde dévastatrice et le mal est fait. Comment peut-on envisager un seul instant qu’une personne qui nous est cher peut tenter de nous embobiner? Cercle vicieux qui finit toujours par revenir au point de départ. Par contre il y aura une chose qui ne pourra jamais ce réparer :c’est le mal mental qu’à subi le malheureux.

Insouciance! Les gens ne voient-ils point la souffrance autour d’eux? Ils cherchent la popularité, le bien-être,le confort. Ils ignorent volontairement ceux qui ne sont pas conforment à eux. Ils sont méfiants.
Fynlie par son allure hors de l’ordinaire et sa personne elle-même est loin d’être la vision idéale qu’on se fait d’une femme de son âge. Tant pis! Sa personnalité, elle l’assume. Sa véritable face,elle ne la cache pas, elle la montre, quitte à subir raillerie et sarcasme. Quoique de ce coté ça ne risquait pas tellement étant donné que peu de personne n’osait l’aborder…
Oui, ces pensées étaient confuse. Mais ils revenaient sans cesse dans sa tête…dans toute situation, vingt-quatre heure sur vingt-quatre heure, elle réfléchissait à tout ce qu’elle vivait.
Soucieuse, elle repporta son attention sur la chute, tentant de faire le vide dans son esprit surchargé.

¤Élèves¤ Nombre de messages : 383 Date d'inscription : 14/08/2007

Jake se promenait, c'était une belle journée aujourd'hui , à part qu'il faisait super chaud . Jake avait dût mettre ces lunettes et pour une fois, ce n'étais pas pour se faire reconnaître mais a cause du soleil . Il avait également sa casquette fétiche , il s'etait habillé décontracté , c'est-à-dire jeans t-shirt et baskets.En marchan,t il vit une jeune fille assise sur un rocher, elle avait l'air triste.

-Salut , tu n'as pas l'air d'aller bien.

Plongé dans ces pensée occupés à faire un tri dans les souvenirs les plus douloureux au plus doux, à dégeler une part de son esprit, Fynlie n’aperçut pas immédiatement la silhouette qui se découpait dans la lumière aveuglante. Pourquoi y aurait’ elle porter attention? Elle en avait déjà assez de ces affaires, alors pourquoi se mêler de celle des autres? Elle ne comprendrait jamais le comportement de ceux qui agissait ainsi. Pourquoi ne pas laisser vivre les autres comme il l’entendait? Chacun n’était-il pas libre? Libre de pensée, de dire ce qu’il désirait sans avoir à justifier chacun de ces actes? Sans avoir à subir des reproches inutiles et blessantes? Si tel était le cas, alors il valait mieux se taire. Ne rien dire pour continuer d’exister et ne pas se perdre dans ces mots qui ne veulent rien dire et ne font que blesser davantage. Et oublier une partie de ce qui fait notre existence, pour vivre, pour rester soi-même.
Levant les yeux, elle leva son regard vers le ciel et observa la constellations lumineuses qui éclairait la terre, fidèle à son poste de chaque jour..Fynlie songea avec amertume qui si tout se serait déroulé autrement elle serait peut-être ailleurs présentement. Si elle n’aurait pas été ce qu’elle était, si elle se s’aurait conformer, si son caractère ne serait pas aussi fort, si sa route de vie si tortueuse, peut-être, peut-être que sa famille adoptive l’aurait gardé et qu’elle ne serait pas pris aujourd’hui dans une famille d’accueil peu recommandable.
Depuis son arrivé à Myrtgal, sa première ville, les malheurs lui collaient à la peau et les histoires compliqués faisaient son nom. Et quel nom! Quand les gens prendront-ils le temps de réfléchir ? Chaque parole lancé risquait de l’atteindre, chaque geste maladroit de la blesser. Elle aurait voulu pouvoir effacé le passé et recommencé à zéro. Mais celui lui était impossible, et elle le savait. Chaque événement était supposé l’instruire sur ce monde complexe mais elle n’avait nullement l’impression d’en savoir davantage. Au contraire, à chaque nouveau jour, ces yeux s’ouvraient un peu plus, et son incompréhension était totale.

Le garçon qui se tenait devant elle, qui lui disait vaguement quelque chose, lui demandait si tout allait bien.Et comment !La seule chose qu’elle désirait, c’était que tout redevienne normal et qu’elle ait enfin une vie sans problème, sans embûches, sans tristesse, sans colère. Mais une telle vie, est-ce que ça existait vraiment? Après tout, quand avait-elle rencontré une personne , ne serai-ce qu’une fois, qui ne s’avait jamais pris la tête et respirait le bonheur à plein poumon? Jamais! Alors est-ce que cela signifiait que l’aspiration à la béatitude était à condamné? Car elle ne pourrait jamais s’y résoudre…malgré toute les souffrances endurés, une parcelle d’elle-même avait encore l’espoir que demain sera meilleur qu’aujourd’hui et que son monde, trop compliqué à son goût, finirait par se transformer pour devenir celui digne de tout les romans à la fin idéale. Et pourtant, elle ne savait que trop bien qu’il était impossible d’être heureux très longtemps avant qu’un événements ne viennent gâcher cette joie de vivre. C’était ainsi, et elle ne pouvait rien y faire. Lutter ne servait à rien, car ce qui doit arriver, arrive toujours, malheureusement. Elle ne croyait pas au sourire bon-marché de ceux qui se disent ravis mais souffrent en silence. En faite, elle ne croyait plus en rien tout court. Alors quand le garçon lui posa cette question, elle éclata d’un froid, sans émotion.Puis fixant ces yeux dans les siens elle dit d’une voix pleine d’amertume :

-Je suis au meilleur de ma forme…qui es tu ?

Étais-ce un mensonge qu’elle venait de prononcer en disant qu’elle allait bien ?Non. Car Fynlie Walf était toujours ainsi…mélancolique. Que pouvait-elle y faire de toute manière ? Se confier ? Bah voyons !Attendre ? Attendre quoi? Que ça passe? Autant étudier tout de suite ces examens de l’année prochaine car ce n’était pas demain la veille que ça allait arriver. Si on veux que les choses changent il faut agir. Et non reste là à attendre que le bonheur vienne frapper à notre porte en disant : Ta tristesse est finit, soit heureux! C’était illogique! Sa vie, c’était elle qui la construisait et personne d’autre et seul les décisions qu’elle prendrait aurait de véritable impact sur son futur. Cet état dans lequel elle se réfugiait n’était pour elle qu’une fuite inutile. Pourquoi devrait-elle attendre à être prêt pour avancer?On ne choisissait pas ce qui nous tombait dessus et rester en mode stop n’était pas la meilleure des solutions car qu’on le veuille ou non, les gens eux, continue à évoluer autour de nous.Et qu’est-ce qui justement peux nous aider à affronter la dure réalité, c’est de continuer quand c’est difficile. Et de sourire. Oui, sa paraît stupide de sourire lorsque nous n’en éprouvons l’envie mais être malheureux veux également dire que nous avons donné la permission à notre esprit de l’être. Et cet permission ne devrait jamais être accordé. Certes, nous n’avons aucuns contrôle sur les éléments qui nous entoure et Fynlie commençait à se demander si elle décidait elle-même de la manière d’on elle réagissait, mais elle essayait. Et c’était déjà ça. Elle avait jadis dominer une peur incontrôlable qui ne refaisait que rarement surface, elle avait dominer sa rage qui n’avait plus aucun pouvoir sur ces gestes , bien qu’encore présente. Alors, encore une fois, si elle allait bien ? Oui et non ? Car ces pensées, son raisonnement, allait bien souvent à l’encontre de ces sentiments et ces émotions. Voyant qu’elle était resté muette à nouveau, perdu dans ces pensées, l’adolescente reprit la parole :

-Je me nomme Fynlie Walf.

¤Élèves¤ Nombre de messages : 383 Date d'inscription : 14/08/2007

Jake regardait la jeune fille , elle etait assez froidre et triste a la fois , jake avait l'impression qu'elle faisait tout son possible pour ne pas avoir d'amis , il la trouve bizzare et assez mysterieuse ce genre de trucs lui plaisait.Quand la fille demanda son nom , jake ne savait pas quoi répondre , il pourait dire juste jake mais si elle lui demande jake comment ? il inventera un faux nom de famille voila tout.

Enchanté fynlie , moi c'es jake

En levant de nouveau les yeux vers ce Jake, Fynlie eu un nouveau sourire. Pas besoin d’être extralucide pour comprendre qu’il devait se questionner sur elle. Tous faisait ainsi. Et la question, qu’elle s’était d’ailleur déjà fait posé, s’était pourquoi. Pourquoi était-elle si seule? La réponse était pourtant simple :l’amitié ne servait à rien car les humains, elle y comprit, était bête et cruel. Elle le savait car peu importe où elle allait, de jour comme de nuit,elle avait souvent l’occasion de voir la méchanceté humaine s’étaler devant ces yeux.
Et ça ne faisait que renforcer sa conviction qu’elle ne devait pas retourner de l’autre coté. Mais en même temps ça la décourageait.Si même les élèves ayant eu une enfance de tout ce qu’il y a de plus normal pouvait se blesser si souvent entre eux,comment elle,pouvait’elle espérer de pouvoir tenir toujours le cap? Elle sera confronté un jour où l’autre à cet fatalité qu’elle appelle la bêtise humaine. Elle serra les dents en se demandant comment on pouvait à se point vouloir blesser une personne. Ces deux jeunes étaient-il amis? Si oui, comment expliquer les paroles blessantes qui sortaient de la bouche du premier? Inconscience? Peut-être,mais qu’est-ce que ça changeais à la situation? Rien du tout! Une méchanceté dîtes de la bouche d’un être cher, est deux fois plus difficile à accepter, surtout si cette personne se dit notre ami. Au début ça se fait sournoisement…à la manière d’une vipère. On se rend à peine compte qu’on se fait rabaisser. Après tout ce n’est pas méchant, comment notre amis voudrait nous blesser? Foutaise! Car par la suite viens la dégradation personnel . Tu es si ancré dans les propos donné, que tu finit par y croire. Oui, une simple chicane peux aller très loin. Et Fynlie ne pourrait supporter une telle chose.

Surtout que les jeunes d’aujourd’hui…Disons que leur manière de faire face aux choses est douteuse.Elle se rappelait une de ces courtes visites à un pub la semaine précédente, avec une fausse pièce d’identité.
Plusieurs y vont pour oublier leur problème et se noyer dans leur peine. Il reparte bien souvent le sourire au lèvre,hilare et certain d’avoir trouvé le bonheur sur cette terre alors qu’en faite ce n’est que le début d’un cauchemar et d’une nuit de mal de tête incessant. Ce liquide revigorant qu’ils avalent, n’est qu’une manière lâche de fuir ces problème et elle éprouvait bien souvent en les regardant,du dégoût et de la pitié. Elle se souvenait surtout d’une personne en particulier :une jeune fille. Une jeune fille au yeux aussi vide que son verre. Penché sur ce qui était précédemment un liquide jaunâtre, elle semblait sur le point de tomber endormi. Elle avait une chevelure rouge foncé qui devait brillé sous les rayons du soleil, qui perçait le ciel sans nuage.Sa crinière avaient été relevés en queue de cheval très serré ,et les habituelles mèches rebelles avaient été tressés sur le coté.Au premier coup d’œil, Fynlie estima que ces cheveux détachés lui arriveraient sans doute au milieu du dos.Ces yeux étaient d’un bleu rare.Mais d’un bleu qu’on ne voit plus.Le soleil et le crépuscule semblaient y tenir bataille, le tout dans un ton pastel. En regardant par-là avait l’impression de voir dans ces yeux tant d’amour et de pardon, tant de joie tellement qu’ils pétillaient, qu’on avait le goût de plonger dans ce regard de bonté.Alors qu’en regardant par-ci, on voit dans son regard tant de tristesse, qu’on se demande si le moment des larmes ne va pas bientôt venir.Tant de souffrance, qu’on comprends instantanément qu’elle fait partie de ceux ayant vécu beaucoup d’épreuve.Voilà ce qui rendait son regard si spécial. Peiné par ce regard troublant, Fynlie se demandait ce que cette jeune fille avait bien pu vivre,mais surtout elle se rappelait que peu de temps auparavant,son regard devait lui ressmblé.Aussitôt,elle fût prit de sympathie pour cette inconnue. Du coin de l’œil , elle avait aperçut l’inconnu au cheveux rouges qui se levait et d’une démarche titubante , se dirigeait vers la sortie. Il était fort à parier qu’elle ne s’y rendrait qu’au bout de plusieurs minutes vu le nombre d’effort qu’elle semblait déployer ne serai-ce que pour mettre un pied devant l’autre. Elle se leva et d’un geste décidé , ce rendit jusqu’à la demoiselle pour l’escorter jusqu’à la porte. Elle eu droit à un mince sourire , ce qui la contenta.

Figé dans sa propre routine, la jeune fille commençait quand à elle,à trouvé le temps long. Cette marre bleu qui s’étendait à perte de vue lui donnait envie d’y plonger et de s’y perdre, y disparaître. Heureuse et comblé? Non…pas jusque là. Certes elle n’était pas triste mais disons que la joie manquait. Tout lui semblait trop routinier et elle se demandait avec mélancolie si un jour elle réussirait à être de bonne humeur sans voir un nouveau problème lui tombé sur les bras.Mais voilà qu’elle retombait déjà dans ces pensées…encore une fois !Quand est-ce cela cesserait-il !Elle qui parlais de routine, ne serait-il pas temps de la changer ?
S’efforçant de prendre un ton plus amical, elle dit :
-Enchanté également Jake.

Bon d’accord, ce n’était pas complètement vrai. Mais ce n’était pas complètement faux également ! Regardant devant elle, Fynlie pointa son doigts en direction d’un bâtiment qu’on avait à peine à voir de loin.

-Tu va à cette école ?

Bon d’accord, en matière de conversation, elle aurait pu faire mieux. Mais que voulez-vous, elle n’avait pas l’habitude !

¤Élèves¤ Nombre de messages : 383 Date d'inscription : 14/08/2007

Jake continua as regarda cette fille ,elle vait l'air assez perdue et ivde a l'interieur comme si tout la degouter , elle ne prenait pas conscience de la vie elle meme , elle ne comprenait pas qu'il falalit on profitais a fonds avant que sa ne soit trop tard.

Oui je suis dans cette ecole et toi ?

Oui. Elle aussi y allait. C’était plutôt une chance pour elle, car jamais elle n’aurait pu supporter d’être si souvent chez elle. Et elle préférait encore étudier que d’être avec sa famille d’accueil ! Elle regarda encore une fois le jeune homme du coin de l’œil, cherchant à l’identifier mais n’y parvint pas. Au moins il faisait des efforts pour lui parler…il n’était pas comme les autres. Pouvait-on donc qualifier cette journée de bonne ?Elle ne saurais le dire…en faite, cette tournée près de la chute lui rappelait un autre souvenir, très , très ancien…

Flash-Back

Il était aux alentour de 5 heures du matin. Fynlie,désireuse de trouver un coin tranquille était venu au parc. Le temps était adorable, le vent fouettais son visage avec délicatesse,.Les branches des arbres secouais leur feuille comme-ci il voulais les faire tomber à tout prix.Pourtant seulement quelque une d’entre elle semblais décidé à se détacher de ce berceau natal. Les oiseaux chantais une douce mélodie ce qui déplaisait à Fynlie. Elle aurait préféré le silence absolu…mais bon on ne peux pas tout avoir !

Elle était vêtu de son sempiternelle pantalon noire , ainsi qu’un chandail de la même couleur. Venu dans le simple but de visiter ce nouveau lieux,elle avait commencer à marcher tranquillement mais revigorer par la brise fraîche et bonne, elle avait commencé à courir. Il fallait bien se mettre en forme non ?Le courant d’air la revigorais, tel de l’eau glacé, et la forçais à continué.Après avoir fait le tour du parc en courant, elle se permis une petit pause et en profita pour observer les alentours. Des bancs , le sol juché de papier divers…tout ce qu’il y de plus normal quoi. Une publicité dont les couleurs autrefois attirante devenait terne, attira son attention. Etendu sur le sol dans ce qui semblait être les restant de la dernière pluie, elle invitait à l’entraide et la solidarité.

*Pas étonnant qu’elle est été ainsi malmené !*pensa Fynlie avec amertume après cette lecture.

Avec un brin de curiosité, elle se demandait qui avait bien pu être à l’origine de ce prospectus . Cette personne devait bien se douter que son annonce n’obtiendrait pas un franc succès. Hors, il l’avait tout de même affiché. Un risque que bien des personnes ne prendrait guère , la peur du ridicule étant bien trop grande. Mais bon…elle s’éloignait de nouveau de son idée générale. Depuis le jour où elle avait commencé à sortir à l'extérieur pour marcher, des tonnes de questions sans réponse tournoyaient dans sa tête. Ces pensées s’entremêlaient et bien souvent elle enchaînait réflexion sur réflexion sans voir le lien entre les deux. Elle espérait qu’avec le temps, certains mystère se résoudraient d’eux-mêmes.

Désireuse de continuer sa ballade, elle avait recommencé à courir avec la même vigueur. Derrière ce fond noir,elle apercevait le soleil qui le levait tranquillement et elle désirais profiter de l’obscurité avant d’être déranger par la lumière du jour. D’autre matinaux arrivaient ,accompagné bien souvent de leur compagne et commençait à marcher, café à la main ce qui fît sourire Fynlie. Ils vivaient leur vie, insouciant de ce qui puisse se passer à l’extérieur de leur « bulle ». Il passait à coté de la misère humaine tout comme il passait à coté d’une sorcière sans s’en rendre compte. Les gens font-il exprès de voir sans toutefois croire ce que leur yeux aperçoivent ? D’entendre mais d’oublier d’écouter ? De parler mais de ne dire que des mots ? Où bien était-ce leur naïveté, leur innocence qui faisait en sorte que la vie était pour eux la perfection inspiré ? Quel désolation. Un jour viendra bien où ils devront accepter la vérité.

*Tu t’éloigne encore de l’idée principale Fynlie…*pensa-t-elle à ce moment.

Décidément elle allait devoir mettre de l’ordre dans ces pensée ! Voyant que les gens commençait à affluer de toute part et que les premiers rayons du jours commençait à éclairer le parc d’une teinte doré , elle mit ces lunettes avec regret, amputé d’une certaine façon, de son sens principal. Déjà,malgré l’heure peu avançé,on se croyait dans une fournaise. Décidé à rester encore un peu malgré tout, elle rabattu son capuchon sur sa crinière et les mains dans les poches à la manière des gens de ce coin pour ne pas trop se faire remarquer, recommença à marcher. Les enfants ayant trompé la vigilance de ces parents couraient dans tout les sens avec leur camarade,sourire au lèvre, suivi bien vite par une maman vêtu d’une simple chemise de nuit qui venait les cueillir, le front rouge de colère.

Fin du Flash-Back

Fynlie eu un sourire en se remémorant ces quelques bribes de son passé. D’accord le dénommé Jake devait ne pas apprécier attendre ainsi une réponse mais venant de Fynlie, un tel silence n’était pas surprenant. D’ailleurs, elle n’allait pas répondre. Car elle venait de la reconnaître, derrière ces lunettes et sa casquette. Elle s’étonna de ne pas l’avoir identifier plus tôt, comme étant une vedette de télévision. Personnellement, elle n’était pas fan, mais son « faux » frère, ne jurait que par lui. Levant la tête, surtout car les rayons du soleil devenait fort, elle demanda :

-Tu es Jake Ryan n’es-ce pas ?

¤Élèves¤ Nombre de messages : 383 Date d'inscription : 14/08/2007

Quand fynlie lui demanda si c'etait jake ryan , jake n'osat plus rien dire , elle resta sans bouger et regarda devant lui .

moi jake ryan, tu plaisante , j'aimerais bien mais non, pourquii cette question tu crois vraiment que jake ryan a la temps de se promener?

jake espera que fynlie le croyait

Le garçon nia son affirmation et Fynlie eu de nouveau un sourire. Pourquoi mentait-il ainsi, qu’avait-il donc à cacher? Sa célébrité? Allons donc, il aurait puêtre le garçon du jardinier que la réponse ne l’aurait guère plus atteint! Mais voir ce garçon à qui la vie avait sans doute tout donné, mentir ainsi pour évité je ne sais quoi,ça la mettait en rogne. Il aurait pu dire la vérité et vista! Elle l’aurait déjà oublié…Mais il avait fait le contraire. Bien sûr, elle aurait pu le croire et s’était sans doute ce qu’il voulait mais elle n’était pas une de ces imbéciles qui se limite seulement à l’apparence des vêtements et de la couleur des cheveux!Fynlie, elle voyait bien plus loin! Elle remarquait le forme du visage et les caractéristique à lequels on n’apporte que peu d’importance.Et il faut dire que le fait que son frère écoute les épisode du célébre Jake presque chaque jour, les ayant enregistré sur video, il y a avait déjà belle lurette qu’elle était en mesure de reconnaître le son de sa voix. Alors si ce prétentieux pensait qu’elle croirait à ces bobards , c’est qu’il la croyait bien naïve!
Gardant le silence,pour montrer son indifférence à la question, elle fit courir ces doigts fins sur les racines noueuses d’un arbre à proximité, ressortit de terre par on ne sait quel moyen puis remonta jusqu’au collet, savourant le contact rugueux que lui offrait l’écorce, imaginant sans peine le cambium qu’elle touchait par la même occasion. Elle laissa remonter son regard le long du tronc jusqu’au houppier, cet enchevêtrement de branche dénudé par les supplices infligés par l’hiver. Quelques feuilles, plus chanceuses, tenaient encore sur l’ossature de ce qui était auparavant un arbre magnifique. L’une d’elle, étaient tombé sur le sol, et sans un regard pour Jake qui devait s’interroger sur ces réflexion, elle saisi celle-ci, traçant la courbe de ce qui était autrefois la gaine de son index. Puis comme pour l’arbre, elle remonta plus haut, observant la stipule, encore rattaché au végétal. Elle monta ainsi du pétrole jusqu’au limbe puis descendit jusqu’au milieu, touchant la nervure latéral et centrale. Elle eu un léger frisson et laissa de nouveau l’air remplir ces poumons, celui-ci passant par le pharynx puis par le larynx, puis suivant un chemin qu’elle-même ignorait, inconsciente de tout ce qu’une simple respiration enclenchait comme processus.
Perdu dans sa contemplation de sa nature, elle laissa son esprit glisser hors d’elle, comme de l’eau qui file entre vos mains, le laissant vagabonder au-delà de la réalité, ce d’on elle avait besoin. Elle se plût à imaginer ces même arbres, ces plantes à leur saison florissante et sourit en imaginant une fleur d’une agréable beauté. Elle était d’un mauve métallique. Son pédoncule reposait sur de l’herbe mouillé par la rosé du matin. Les pétales étincelaient, miroitant sous cette eau claire, montrant en évidence leur pistil et leur étamine, qui était d’un jaune vif, comme le soleil qui brûlait dans le ciel vide. Fynlie s’en rappelait très bien car cette fleur, c’était celle qu’elle avait arraché à son refuge douillet pour poser sur la tombe de fortune de cette personne, cette unique personne qui l’avait tant aidé avant de perdre la vie.Personne ne savait, que sous la terre, reposait le symbole de l’amour et de la perfection, sous la forme d’un être vivant déchiré pour assoiffer le désir d’une adolescente de rendre justice en ce monde et d’embaumer son existence. C’était un symbole comme un autre mais Fynlie avait éprouvé une certaine satisfaction après avoir enterrés cette plante sauvage, en pensant avec tristesse qu’elle répandrait son parfum des lieux à la ronde.

C’était une part de son vécu comme un autre qui , si à un moment donné avait eu une certaine importance, n’avait plus la moindre place dans son esprit et dans son cœur surchargé. Blasé, elle revînt enfin dans la réalité et regarda le jeune garçon dans les yeux, tentant de lui transmettre on ne sait quel message. Mais elle ne vit que son propre reflet. Horrifié, elle recula vivement, comportement qui à première vue peux paraître bizarre. Mais elle ne s’en préoccupa guère, étant déjà submergé par une vague de pensée qui laissait une traîné amère derrière eux. Ces yeux noirs étaient revenus. Pourtant elle n’éprouvait ni tristesse, ni colère. Elle était simplement perdu. Elle se sentait comme un animal ayant perdu sa piste et qui erre sans fin, sans trouver le bon chemin. Cette carapace qu’elle s’était forgé, allait bientôt disparaître et elle le savait. Elle n’en était guère inquiète cependant, car toute chose finit par arriver un jour où l’autre. Portant une main à son visage, balayant un insecte invisible, elle tenta de raisonner calmement.

Son silence pouvait paraître inquiétant pour ceux n’ayant jamais croisé le fer avec elle, mais justement c’était mal la connaître de penser qu’elle serait bavarde. Fynlie était une personne spontanée et réfléchi justement, elle avait un choix, pourtant anodin, à faire. Celui de ne pas soulever les propos émis par ce dénommé Jake, de laisser couler, ou bien de lui faire remarquer que, aussi vrai que cet arbre et cette nature qu’elle appréciait tant, ces propos ne tenaient pas debout. Eh devinez quoi? Ce fût la deuxième option qu’elle choisi. Posant à nouveau son regard sur lui, elle dit avec dédain :

-Et toi, tu me crois assez stupide pour croire ce que tu dis? Cesse ce petit jeu , je sais très bien qui tu es…

¤Élèves¤ Nombre de messages : 383 Date d'inscription : 14/08/2007

Jake n'aimait pas qu'ont lui parle sur , se ton enfaite il n'avait pas l'habitude a sa donc il lui répondit franchement

-Oui je suis jake ryan , tu as raisosn tu es la plus forte

il dit sa sur un ton un peu enerver car cette fille l'aavit enerver, il voulait etre gentil et elle elle lui parle mal

Bon ça y est...un autre qui s'énervait!Il n'avait qu'à lui dire la vérité dès le début tiens! Ils n'en seraient pas là présentement. D'accord, elle aurait pu le laisser tranquille et ne pas insister, mais elle détestait qu'on lui mente! Étais-se donc de sa faute?Il est vrai qu'elle ne s'était pas montré des plus sociable dès le début, mais sa personnalité était ainsi et elle n'allait pas commencer à la changer!Elle qui n'avait jamais aimé discuté, pourquoi faire exception à la règle!Elle reporta son attention sur le jeune homme et décida de faire tout de même amende honorable. Après tout, elle collectait plus les ennemis que les amis, et si elle continuait dans cette voie, l'atmosphère en viendrait vite à se montrer aussi insupportable que chez elle. Ouvrant la bouche et tentant de prendre un ton plus...normal, elle dit:

-Bon sa va, pas la peine d'en faire un plat. Désolé, je ne voulais pas te brusquer.

Après tout, elle n'était pas venu ici pour se disputer mais pour réfléchir! Parce qu’avait-elle quelque chose d’autre à faire? Penser à ce qui l’attendait au prochain tournant et ruminer contre cette vie trop compliqué pour une simple adolescente de 15 ans? Elle se sentait comme un monstre prit en cage. Qu’est-ce qu’elle avait fait de mal pour mériter tout cela? Pourquoi tout s’acharnait contre elle! Elle savait que ces autres camarades ne vivaient pas, eux aussi, un quotidien facile mais qu’est-ce qu’elle pouvait bien y faire? Son problème, c’était elle que ça concernait et même si il n’était peut-être pas de la même atrocité que les autres, il n’en était pas moins qu’il existait! Elle plongea un regard noir,encore une fois, qu’elle croyait disparu depuis longtemps, dans ceux du garçon espérant y trouver un bonheur confus qui lui confirmerait que ce n’était pas envers tout ces habitants que le malheur frappait , mais elle ne vit que son propre reflet dans les yeux de du dénommé Jake. Une nouvelle fois. Elle qui espérait que la fois précédente n'était qu'un moment de faiblesse de sa part, après tout, ce n'était pas la première fois qu'elle voyait son reflet... Elle ferma quelques secondes, intimidé de se redécouvrir un visage de glace. Elle ne redeviendrait pas comme avant. Et elle ne changerait pas. Non, Fynlie Walf n’allait pas entrer de nouveau en dépression! C’était décidé ainsi! Les pleurs à n’en plus finir,les joue perlé et les yeux rougies par les larmes, très peu pour elle. Cette fois, elle allait se tenir droite et personne, ne détecterait cette nouvelle souffrance qui venait de s’ajouter à tant d’autre. Étrange tout de même, que le passé finisse toujours pour la rattraper. Mais n’était-ce pas le cas avec tout le monde?

Elle ferma de nouveau les yeux, pour calmer ces ardeurs puis demeura dans le silence quelque seconde,perdu dans les méandres de ces pensée. Puis, elle se tourna vers le garçon en face d'elle. Consciente qu’elle était resté sans piper mot pendant plus d’une minute. Il en était ainsi avec Fynlie. Lorsqu’elle commençait à réfléchir profondément, elle restait avec ces réflexions pendant longtemps. Ceux-ci tournait dans sa tête dans une ribambelle étourdissante.
Cette fois, elle sorti véritablement de ces pensée et regarda l’adolescent. Elle eu un sourire, un véritable. Il n’était pas froid ni malhonnête. Il était aimable, normal. Après tout, elle ne désirait pas que ce Jake soit traumatiser par leur rencontre parce que son interlocutrice était resté plus de 5 minutes le regard vagues et qu'elle était d'une désagréabilité surprenante!

¤Élèves¤ Nombre de messages : 383 Date d'inscription : 14/08/2007

Apres sa jake decida de lui pardonner , c'etait aussi de sa faute il n'avait qu'a etre franc des le debut mais vu qu'il voulais passer incognito c'etait difficille avec cette fille qui la reconnu au premier regard on peu dire quelle a l'oeil tout de meme.Il trouvait cette fille surprenante es mysterieuse ,et il adorer sa , es la façon dont elle le regarda.

Sa vas c'es pas grave oublions

(Hj:Trop tentant...un dernier tit flash-back! Razz

)

Fynlie fût rassurer en voyant qu'aucune dispute n'aurait lieu. Elle habitait en ces lieux depuis quelques années déjà, et les bagarres qu'elle avait provoqués étaient nombreuse. Mais que pouvait-elle y faire?Ce n'était sûrement pas de sa faute si elle était dans une ville d'insolent et d'être qui se croyait supérieux à tous! Bon, d'accord, elle avait un avis différent il y a de cela, 4 ans, alors qu'elle rendait visite à un de ces anciens professeur pour le remercier, dans sa ville où elle avait vécu une partie de son enfance, mais cela datait de tellement longtemps...

Flash-Back

Faisant retentir une minuscule clochette, Fynlie poussa la porte et se retrouva à l’extérieur du restaurant dans lequels elle avait passé à peine quelques heure. L’air était bon et pur étant peu pollué, seul avantage de Myrtgal, et l’adolescente pris plaisir è en aspirer de grande goulée avant de tout relâcher. Il était encore tôt, la tranquillité était donc de mise. Malgré cela, la jeune fille crût percevoir de lointains échos de voix, sûrement des bavardes du quartier et qui était, pouR son plus grand malheur, des lève-tôt. Elle enjamba un vieux sac poubelle au contenu répandu sur le gravier froid, et commença à marcher. Les routes étaient désertes, et les passant étaient quant à eux, très rare . Seul chose positive : la pluie n’était pas de la partie depuis quelques jours ce qui lui évitait d’être arrosé par le passage des quelques voitures égarés , ressemblant vaguement aux Coccinelle de Volkswagen , passant près d’elle de temps à autre . Baissant les yeux, Fynlie consulta sa montre digitale à quartz. Sept heure. Elle aurait pu choisir de dormir davantage, et par conséquent se réveiller plus tard, mais elle avait décidé que le plus tôt serait le mieux. Et en voyant ces ruelles, seulement animés par le mugissement du vent, elle ne regrettait pas sa décision. Car la ville avait un certain charme en son temps de repos. Les maisons, pour la plupart construite entièrement de brique rouge vin ou au contraire de bois pourpre, s’élevaient avec gracieuseté sur plusieurs étage et les volets des fenêtres étaient, tous sauf quelques-uns, clos. Des rarissime qui étaient ouverts on pouvait apercevoir à travers les vitres rectangulaires de petites pousses qui s’élevaient vers on ne sait où. Sans doute des passionnés de la culture hydroponique. Fynlie savait qu’une telle pratique, qui consistait à faire pousser des aliments sans l’apport du sol, était très courant à Myrtgal étant donné qu’une grande partie de la population n’avait pas assez de terrain pour posséder un champ de plantation. Pour sa part, elle se demandait comment les habitants trouvaient le temps nécessaire à une de tels activités, étant la plupart du temps occupé à déblatérer sur son voisin. Mais bon, c’était leur affaire. Elle continua sa route et constata qu’en matière de construction, il y avait là quelques exception , d’on de majestueuse villas, réservé au plus riche, orné de colonnes et tympans. Diverses plantes grimpantes avaient, avec le temps, escaladés leur mur, ce qui ne faisait que renforcer davantage la vénusté de ces bâtisses. Un jardin florissant à l’avant de leur propriété complétait le tableau, ceux-ci possédant les moyens contrairement au plus pauvre. Anémones safran, pâquerettes au calice d’un vert vif, tulipes aux pétales vermeil arrondis, coquelicots à l’étamine purpurin, roses aux épines tranchantes et narcisses à fleurs blanches se côtoyaient en ce lieu. Il n’y avait qu’un mot pour décrire ce que ces yeux voyaient : splendide. Mais ce n’était qu’une façade. Car lorsque le soleil montrera ces premiers rayons et que la ville tout entière sortira de sa torpeur pour une nouvelle journée de calomniage, ce qui était ne sera plus et toute cette splendeur retournera dans l’ombre. Les enfants du voisinages, même si peu nombreux, piétineront les fleurs délicates et l’éclat de la lumière fera apparaître sur les murs anciens des égratignure et des teints jaunis. Sympa, non?

Soupirant, Fynlie replaça une mèche rebelle derrière son oreille et bifurqua au coin d’une rue un peu plus sombre que les autres. Du coins de l’œil elle aperçût une gang d’adolescent qui, à voix basse, échangeait des propos douteux. Ceux-ci portaient des vêtements vintage entièrement noir et avaient divers breloques autour des poignets et du cou. Leur cheveux, de la même couleur que leur habit, étaient soi relevé en une sorte de tock très serré, ou bien pendait lamentablement dans tout les sens. Ils levèrent la tête vers elle et la jeune fille crût apercevoir un éclair de malice passé dans leur yeux. Si c’était à ça que ressemblait les blancs-becs de la ville,étant moins terrifiants dans sa jeunesse, elle comprenait très bien que les adultes craignaient pour leur descendance. Et dire que c’était elle, quelques années, auparavant, qui était à leur place. Mais tout cela était finit.Définitivement. Elle reporta son attention sur le groupe et constata à sa plus grande surprise que le plus jeune ne devait pas avoir plus que 11 ans. Le reste ne semblait guère plus âgé, ce qui n’enlevait rien à leur air menaçant. Fynlie haussa les épaules avec un désintérêt marqué et pour bien leur faire comprendre qu’elle ne laisserait personne lui entraver le chemin, décocha à chacun un regard noir. Ceux-ci la laissèrent passer en silence et l’adolescente dût se retenir pour ne pas sourire. Ils jouaient les gros durs, mais en faite ces gamins, c’était des trouillards. Ils n’avaient rien dit. Pas même une parole. Ce qui était bien, du moins pour elle, mais ils avaient laissés voir leur faiblesse. La peur. Et secrètement, Fynlie se mis a espérer qu’ils abandonne vite le métier de « Je fais peur à tout le monde ». Après tout, ils n’étaient encore que des enfants! Et puis, les ennuis, c’est si vite arrivé…
Elle un léger rire. Elle était très mal placé pour parler ainsi. Car malgré son statut , Fynlie n’avait que très rarement respecté les règles de l’établissement. Et elle se classait sans problème dans la catégorie forte tête. Mais à ça, elle ne pouvait rien y faire. Nous sommes ce que nous sommes, et non le contraire. Et si son caractère, sa personnalité, ne plaisait pas à tout le monde, alors tans pis pour eux.

Fin du Flash-back

Fynlie se surprit à sourire en ressaisant dans sa mémoire cet agréable souvenir mais elle se reprit bien vite, plus que consciente qu'encore une fois, elle s'était laissé allé dans ces pensée. Habitude inutile!Elle se tourna vers son interlocuteur et dit d'une voix tempéré:

-Désolé...j'ai tendance à être...lunatique.

Puis, cherchant un moyen d'entamer uen nouvelle conversation, allant au delà de son horreur du bavardage, elle rajouta:

- Mon "faux" frère raffole de ton émission.

Elle avait insisté sur le mot faux, en disant cette phrase avec dégoût. Jamais elle n'appellerait ce garçon ignoble comme étant son frère, malgré la demande insistante de sa mère adoptive.

¤Élèves¤ Nombre de messages : 383 Date d'inscription : 14/08/2007

Jake regardait fynlie elle avait l'air a l'ouest ,elle etait dans ses penser en dirait qu'elle revait a quelque chose , et que plus riezn n'exister autour d'elle ,avait le regard vide es triste en meme temps.Quand elle lui dit qu'elle etait désoler jake etait contente finalment cette fille etait peu etre sympa dans le fond.Et quand elle lui dit que son "faux" frére regardait son emission,il se demandait comment sa "faux frére" mais il ne disat rien.

-Ah ben merci c'es vraiment gentil de sa part.

Gentil de sa part?L’adolescente au cheveux noirs comme la nuit se retînt à temps pour ne pas éclater de rire. La seule fois où Mathew, le nom de ce garnement, avait été aimable c’était parce qu’il souhaitait acheter le silence de Fynlie suite à une bagarre à l’école. Ce que ce petit monstre ignorait, et qu’il ignore toujours, c’était que c’était elle qui était à l’origine de la dispute. Résultat :une jolie petite fracture, mais rien de bien grave.Alors le fait qu’il apprécie son émission, c’était plutôt parce qu’il était fan de tout ce qui bougeait et que sa petite tête d’enfant pourri gâté de 7 ans avait pu suivre depuis l’âge où il pouvait s’asseoir devant la télé, les programmes avec ce cher Jake Ryan.

Mais bon…ça il n’était pas obligé de le savoir! Et puis il devait avoir l’habitude d’être superbement admiré et tout le reste. Rencontré une fille froide comme la glace ne faisait sans doute pas parti de ces principes! Tout comme elle, discuté n’était pas dans ces idéaux! Non mais quand on y pense, quel perte de temps! Des paroles, rien que des paroles. Aucune information pertinente, que des mots. Rien ne pouvait nous renseigner véritablement sur la personne en face de nous. Bon d’accord, elle savait que c’était le célèbre Jake Ryan mais qu’est-ce que ça voulait dire? Qu’il était meilleur qu’un autre? Qu’elle? Je vous en pris, pas de mensonge! Qu’il avait réussi dans la vie et pas elle? Bon, pas de parenthèse sur celle-là. Non, en réalité, ça ne voulait rien dire! Simplement que son talent, il avait décider de l ‘exploiter à la télévision et que comble de la chance, il y avait percer!Mais le contraire aurait été tout aussi plausible! Alors quand elle voyait tout ces gamins s’aplatir devant une vedette, ça la dégoûtait franchement! Elle était aussi intéressante que ces stars! Sinon plus! Elle valait autant! Alors un peu de dignité ne ferait pas de mal à certain d’entre eux et à ceux qui ont l’habitude qu’on Ne leur disent que des compliments, un peu d’humilité leur feraient le plus grand bien!

Alors qu’avait-elle apprit depuis le début de leur conversation? Rien. Sinon qu’il allait à la même école qu’elle et qu’il était prêt à discuter avec une personne à l’appareil douteuse. Mais les motivations restent inconnu. Alors la conversation, depuis le début, n’est que du temps perdu. Pourquoi ne pas parler de chose pertinente pour faire changement? Parce que des questions, ce n’est pas ça qui manque. Mais que les réponses ne sont pas toujours ce qu’on souhaite. Pourquoi poursuivre de discuter si elle avait un tel dédain envers une telle action ?Pour plusieurs raisons. Mais ça, c’était dur à comprendre.

- À part le cinéma, t’a d’autre passion?

Question impertinente. Restait à voir si la réponse allait être de-même.

¤Élèves¤ Nombre de messages : 383 Date d'inscription : 14/08/2007

Oui j'adore passer du temps avec mes amis , et m'éclater avec eux , et aussi m'occuper de ma petite soeur car mon pére n'est pas souvent là et moi non plus, donc la pauvre elle se retrouve souvent seule , mais je fais de mon possible.Mais ça ne doit pas t'intérresser.J'adore également le tennis c'est une de mes passions! Et toi dis-moi , tu as un petit copain et des passions ?

Ça ne doit pas l'intéresser?Hum...affirmation guère fausse mais en même temps, le but de cette question était d'en connaître plus sur ce fameux Jake Ryan, au-delà des stéréotypes du vedettaria commun. Alors dans ce sens, la réponse était assez satisfaisance. Ainsi , il avait une soeur?Elle l'ignorait...mais en faite, elle ne savait pas grand chose sur lui, ni sur personne d'autre. Certe, ce membre de sa famille adoptif l'adulait, mais il n'en était pas de même en ce qui la concernait et les bribes d'information qu'elle avait eu de ce garçon lui venait soit des journaux, soit de son "faux" frère lorsqu'il découvrait de nouveau potin dans le magazine de sa mère. Pauvre petit ...il commençait déjà à s'intéresser au rumeur alors qu'il était encore un enfant! Et dans des revues pour femme en plus....Mais bon, sil il y en avait bien un qui n'était pas à plaindre, c'était bien lui!Et puis elle avait pût apprendre quelque nouvelle croustillante, dont celle qui raconterait que Jake sort avec une fille de l'école. Fynlie, malgré sa réticence avec ce qui s'avérait non fondé, y croyait. Après tout, rien de plus normal pour une star non?

Son interloccuteur lui retourna ensuite la question, lui demandant par la même occasion si elle avait un petit copain. Non mais, es-ce qu'il l'avait bien regardé? Ressemblait-elle vraiment à ces filles qui ont un copain, ou même juste un ami? Il faisait un erreur sur la personne! Fynlie était une personne solitaire, depuis le débat de son enfance jusqu'à son adolescence et il en avait toujours été ainsi. Elle n'accordait que très difficillement sa confiance...et elle devait cependant admettre que ce Jake, qui a première vu aurait pu être superficiel, gagnait peu à peu ce qu'elle n'a accordé que trois fois dans sa vie. Il faut la comprendre!Chaque amitié qu'elle a tenté d'entretenir s'est soldé par un échec! Et même si elle ne se l'avouerait jamais, c'est une chose bien difficile pour une simple ado de 15 ans.

Des passions? Hum...les arts martiaux...Nah...pas assez complet. L'auto-défense? Pas vraiment...l'art de combattre?Un peu mieux même si un tel terme n'était pas vraiment dans la liste artistique. En avait-elle d'autre. Oui. Mais après avoir tenté à diver reprise de faire valoir ce talent, et après s'être fait rabrouer séchement par ces parents adoptifs qui ne souhaitait pas voir Fynlie évoluer bien dans la vie, elle avait vite abandonné cette art qui la captivait. Le théatre. L'improvisation. Tout ce qui touchait à l'art de la scène! Pas les films! Non...les pièces. Elle adorait!Mais ça encore, elle n'avait pas le droit de le dire.Après mûre réflexion, elle finit par dire:

- J'aime bien les arts martiaux...mais je ne crois pas que c'est le terme exacte à ce que j'appris lorsque j'était plus jeune...et les pièces de théatre aussi...

Puis après quelques secondes de silence, elle décida de répondre à sa première question:

-Et non, je n'ai pas de petit copain. Il me semble que c'est une chose assez évidente...

¤Élèves¤ Nombre de messages : 383 Date d'inscription : 14/08/2007

Une chose évidente ?Comment jake pouvait-il le savoir: il ne la connaissait pas du tout!Elle était jolie alors pourquoi n'avait-elle pas de petit copain?Peut-être c'est elle qui avait fait ce choix.Si elle etait peut-être un peu plus sympa avec les autres elle pourrait avoir pleins d'amis.

-Ah c'est dommage pour toi.

Dommage? Au contraire, c'était bien mieux ainsi!Car de cette manière, elle ne tombait pas dans des relations amoureuses bidon qui d'une manière ou d'une autre, se solderait par un échec. Elle évitait par la même occasion toute la tristesse et la frustation provoqué par des coups de fils oublié, ou des disputes éprouvantes. Les larmes de déception, très peu pour elle! Fynlie n'était pas sans avoir ce qu'elle manquait, mais après avoir observé plusieurs de ces camarades tombé complètement gâteau et viré mou comme de la guimauve par les ravages de l'amour, elle en était venu à la conclusion qu'en fin de compte, sa situation n'était pas si dramatique.

-Crois-moi, je suis très bien seule.

Si un spécialiste des jeunes auraient été là, il aurait sans doute fronçé les sourcils en rétorquant que rester seul est une très mauvaises chose pour lesadolescents qui risquenet de s'enfermer sur eux-même et dans leur propre monde et vista! Ceci, elle l'avait déjà entendu par un psycologue qu'elle était déjà allé voir. Pas de son propre chef, jamais elle n'y serait allé sinon...mais plûtot de sa mère adoptive qui faisait semblant de s'inquêter du tempéremment et de l'état psycologique de Fynlie. L'apparence...toujours cette même chose! Elle cherchait à souver la face, voi`là tout! Comme-ci elle se souciait de ce que pouvait bien ressentir l'adolescente de 15 ans! Au contraire, elle aidait à maintenir son moral au plus bas!Mais ça, elle se gardait bien de le dire...

¤Élèves¤ Nombre de messages : 383 Date d'inscription : 14/08/2007

Ok, si tu le dis

Jake éprouvait de la peine pour cette jeune fille ,elle n'avait pas d'amis, pas de petit copains ,elle n'avait rien quoi!Il se sentait mal a l'aise, lui il avait tout et elle, elle n'avait presque rien, c'était comme si il etait égoïste.Il s'en voulait beaucoup, il voulait l'inviter à la fête de miley ,mais il ne savait pas si elle accepterais .Jake penchait plûtot pour le non-merci.

-Écoute, ma copine fais une fête demain soir, ¸ça te dirais de venir ?

Pour la première fois de sa vie, Fynlie fût à peu près surprise. C'était une mauvaise blague où quoi? Ça devait sûrement être ça...on se moquait d'elle et on cherchait à voir sa réaction. Et si c'était vrai? Après tout, Jake n'avait pas l'air de plaisanter...
Si oui, elle commençait à comprendre qu'à trop vouloir ne pas être comme les autres et voir bien plus loin que le principal, elle en était venu à négliger que tous ne se ressemble pas Mais comment être sûr que ce n'était pas une mauvaise plaisanterie? Après tout, ça ne serait pas la première fois...

Ah et pourquoi se posait-elle ces questions à la fin? Même si cela s'avérait être vérédique, elle n'irait pas et point à la ligne! Surtout qu'il avait bien dit que c'était chez sa copine, sûrement cette fille du bahut, et rien ne l'assurait que les gens serait aussi sympathique que lui...quoicque elle n'avait pas trop à parler puisqu'elle même battait des records en ce qui concerne le mode désagréable alors...pas étonnant que tout le monde s'éloigne d'elle!Mais elle n'allait tout de même pas commencer à refaire son portrait psycologique non? Et puis ce n'était qu'une simple question. Provoqué sans doute par la pitié. Elle détestait ce sentiment. Il ne servait à rien, et la faisait sentir misérable au yeux des autres, alors qu'elle savait très bien que ce n'était pas le cas. Mais que pouvait-elle y faire si certaine personne la voyait comme une malheureuse? Rien du tout, et elle n'allait sûrement pas essayer de leur prouver le contraire.

Malgré tout, elle fût tenté d'accepter. Une fois dans sa vie, ça ne pouvait pas lui faire du mal d'essayer de s'intégrer...

*Argh...qu'es-ce que je suis en train de penser là...je suis très bien seule et basta!*

Et puis deuxième bonne raison pour refuser:D'une manière ou d'une autre, elle resterait sans doute dans son coin à ne rien faire...mais si on y pensait bien, ça ne ferait pas grand changement comparé à d'habitude. Finalemment, elle répondit:

-Bof...ça ou la maison. Très bien, je vais venir.

¤Élèves¤ Nombre de messages : 383 Date d'inscription : 14/08/2007

Ah c'est genail , sa me fais super plaisr tu vas voir tu vas trop t'amuser et tu veras ont dansera meme ensemble enfin si tu veux.Comme tu veras un peud emonde sa ne te feras pas de mal tu veras sa vas etre cool.J'espere que tu ne le regreteras pas.Tu vas voir mes potess ont tres gentil surtout ma copine

hj:Je vais faire cour pour cette fois, je rajouterai du descriptif plus tard.

S'amuser? Ouais bon...on verra en temps en lieux car présentement, elle doutait sincèrement de cette parole. Elle fût tenté un instant de l'interrompre pour préciser que la seule raison valable du fait qu'elle allait se rendre à cette fameuse fête était pour éviter l'atmosphère fuyante de sa maison et une mère adoptive grincheuse, mais elle préféra ne pas éteindre trop vite l'enthousiasme du jeune homme. Après tout, il devait se faire une joie de voir que Fynlie, le bonheur converser en malheur, allait sortir de son ombre. Mais qu'es-ce qu'elle pensait là?Il ne la connaissait même pas! Il devait simplement avoir l'Impression d'avoir fait une bonne action en aidant une pauvre fille malheureuse. De toute façon, qu'es-ce qu'elle en savait? Ça n'importait que peu...

Pour la danse, elle verrait en temps et lieux, quoicque là, la réponse était déjà toute prête dans sa tête .Non. Elle venait, c'était déjà un grand pas non?Fallait pas trop lui en demander tout de même!Rencontrer du monde...c'est ce qu'elle craignait justement! Et si quelqu'Un se décidait à l'agacer? Car si tel était le cas, préparer la demande de dommage et intérêt car Fynlie n'était pas du genre à se laisser marcher sur les pieds, encore moins par des personnes qu'elle ne connaissait pas.Elle savait, se connaissant, que le risque de s'amuser était moindre dans son cas, mais peut-etre avait-il raison. Voir du monde ne pourrait lui faire du mal. Restait plus qu'à espérer que sa copine serait véritablement sympathique et qu'elle ne la chasserais pas à coup de balais en voyant qu'elle allure elle avait...les apparences sont parfois si trompeuse!

-Ouais bon...reste à voir. Et ça se déroule où?

¤Élèves¤ Nombre de messages : 383 Date d'inscription : 14/08/2007

Sa se deroule chez ma copine c'est pres de la plage , tu vera c'est immense chez elle, il y va avoir de la musique un DJ , des danseurs proffesionelles.Il y aura pleins de boissons et beaucoup de bouffe tu veras c'est top.

Jake etait vraiment tres content que fynlie vienne , il se sentait proche d'elle la.iL servait enfin a quelque chose pour une fois.

Fynlie opigna. Bon d'accord, elle avait compris, ça serait supposé être bien. Restait plus qu'à espérer que sa présence ne mettrait personne mal à l'aise. Et gare à ceux qui s'aventurerais de trop près en osant lui parler de ces vêtements...parce que dans un tel cas, elle ne répondrait plus de rien. Levant la tête, elle jeta un rapide coup d'oeil à sa montre digital à quartz. 19 heure! Déjà! La marâtre allait encore lui piquer une crise! Qui sait, avec un peu de chance elle aurait assez de temps pour passer dans une boutique et s'acheter des bouchons, histoire de ménager ces oreilles lorsque la mère adoptive allait se mettre à crier.

Pourquoi elle l'appellait la marâtre?Tout simplement parce que celle qui avait la charge d'elle était d'une désagréabilité alarmante. Oh, elle n'allait pas jusqu'à la frapper, surtout qu'elle connaissait pour les avoir tester les connaissances d'auto-défense de Fynlie, mais elle était plûtot du genre à râler pour un oui comme pour un non. Certe, Fynlie ne lui obéissait pas, mais il y avait des raisons à ce refus d'écouter. Et puis, quoicqu'elle fasse, l'adulte trouvait toujours une raison pour tout lui mettre sur le dos, alors à quoi bon se forcer? Oui, Walf y allait de son propre chef dans chaque situation, et elle était très bien ainsi. Sauf que là, elle préférait ne pas trop contrarier le chef de famille puisque celle-ci, étant enceinte, attendait un bébé et était , si dur fût-il à croire, pire que d'habitude. Et pour une fois, elle allait rentrer au bercail.Avec un simple sourire d'excuse, elle dit:

-Très bien, j'y serai. Sauf que là, je dois y aller, la "fausse" mère va pas tarder à piquer une crise sinon. Donc, à demain!

Bizarre comme elle avait l'habitude d'appeller ''faux'' tout ceux qui n'était pas réellement de sa famille. Mais après tout, elle n'allait tout de même pas appeller cette femme comme étant sa mère! Replaçant une mèche rebelle derrière son oreille, elle se leva puis , adressant un dernier bonjour de la main à Jake, se remit à marcher en direction de sa maison